TY - JOUR AU - Noone, Rebecca PY - 2020/11/08 Y2 - 2024/03/29 TI - The Everyday Information Experience of Street-Level Wayfinding: A Critical Look JF - Proceedings of the Annual Conference of CAIS / Actes du congrès annuel de l'ACSI JA - CAIS/ACSI VL - IS - SE - Articles DO - 10.29173/cais1153 UR - https://journals.library.ualberta.ca/ojs.cais-acsi.ca/index.php/cais-asci/article/view/1153 SP - AB - <p>In the following paper I look at the information practice of wayfinding - the means by which people orient in and navigate through spaces. In contemporary information conditions of networked mobility, wayfinding is often associated with ‘asking’ Google Maps to locate where something is and how to get there. Google Maps is the most popular application for mobile devices with over 1 billion people putting it to work every month. Despite this frequency, there is little information available on how Google Maps is used. As technology writer Andrew J. Hawkins proclaims (2017), “we just need the directions, the right subway route, or the name of that good sushi place.” What is happening in these moments when one needs directions? And more specifically, to paraphrase Sarah Sharma (2012), whose routes become reified by Google Maps? I argue that the imaginary of the Google Maps ‘user’ is more than simply an archetype but an <em>orientation</em> within a spatialization of information that are made evident in acts of everyday wayfinding. The paper’s focus is to reflect on the intersections and the divergences between the Google Maps rhetoric and the types of street-level observed during the research.</p><p><span data-sheets-value="{&quot;1&quot;:2,&quot;2&quot;:&quot;Dans l'article suivant, j'examine la pratique informationnelle de l'orientation - les moyens par lesquels les gens s'orientent et naviguent dans les espaces. Dans le contexte informationnel contemporain caractérisé par la mobilité en réseau, l’orientation est souvent associée au fait de «demander» à Google Maps de localiser où se trouve quelque chose et comment s’y rendre. Google Maps est l'application la plus populaire pour les appareils mobiles avec plus d'un milliard de personnes qui l'utilisent chaque mois. Malgré cette fréquence, peu d'informations sont disponibles sur la manière dont Google Maps est utilisé. Comme le proclame l'écrivain technologique Andrew J. Hawkins (2017, notre trad.), « nous avons seulement besoin de directions, du bon trajet de métro, ou du nom de ce bon restaurant de sushi.» Que se passe-t-il dans ces moments où l'on a besoin de directions? Et plus précisément, pour paraphraser Sarah Sharma (2012), qui voient leurs itinéraires réifiés par Google Maps? Je soutiens que l’imaginaire de «l’utilisateur» de Google Maps est plus qu’un simple archétype, mais une orientation dans une spatialisation de l'informations qui se manifestent dans des actes quotidiens d'orientation. L’objectif de l’article est de réfléchir aux intersections et aux divergences entre la rhétorique de Google Maps et celle des passants observées au cours de la recherche.&quot;}" data-sheets-userformat="{&quot;2&quot;:771,&quot;3&quot;:{&quot;1&quot;:0},&quot;4&quot;:{&quot;1&quot;:2,&quot;2&quot;:14281427},&quot;11&quot;:4,&quot;12&quot;:0}">Dans l'article suivant, j'examine la pratique informationnelle de l'orientation - les moyens par lesquels les gens s'orientent et naviguent dans les espaces. Dans le contexte informationnel contemporain caractérisé par la mobilité en réseau, l’orientation est souvent associée au fait de «demander» à Google Maps de localiser où se trouve quelque chose et comment s’y rendre. Google Maps est l'application la plus populaire pour les appareils mobiles avec plus d'un milliard de personnes qui l'utilisent chaque mois. Malgré cette fréquence, peu d'informations sont disponibles sur la manière dont Google Maps est utilisé. Comme le proclame l'écrivain technologique Andrew J. Hawkins (2017, notre trad.), « nous avons seulement besoin de directions, du bon trajet de métro, ou du nom de ce bon restaurant de sushi.» Que se passe-t-il dans ces moments où l'on a besoin de directions? Et plus précisément, pour paraphraser Sarah Sharma (2012), qui voient leurs itinéraires réifiés par Google Maps? Je soutiens que l’imaginaire de «l’utilisateur» de Google Maps est plus qu’un simple archétype, mais une orientation dans une spatialisation de l'informations qui se manifestent dans des actes quotidiens d'orientation. L’objectif de l’article est de réfléchir aux intersections et aux divergences entre la rhétorique de Google Maps et celle des passants observées au cours de la recherche.</span></p> ER -